François Hollande peut dire merci à Shinzo Abe, le premier ministre
japonais. Critiqué pour ses prévisions de croissance par le Fonds
monétaire international et la Commission européenne, repris sur ses
prévision de déficit public et éclaboussé par l'affaire Cahuzac, le
président de la République vit des heures difficiles. Heureusement pour
lui, il peut compter sur un vent d'air frais venu d'Asie
lien: La France n'a jamais emprunté à des taux aussi bas...
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