Jadis considérée comme « populiste », l'option de la restructuration de la dette des pays européens dits périphériques devient « acceptable. » Mais passer à l'acte s'annonce délicat.
Les temps changent, et avec eux les convictions. Souvenez-vous, c’était il n’y a pas si longtemps, à peine quatre mois…
C’était le temps où l’austérité, la réduction rapide des dépenses publiques et la dévaluation interne étaient les « seules alternatives » à la crise que traversaient les pays d’Europe du sud.
Tous ceux qui osaient sortir de ce discours étaient considérés comme « populistes » et, en tant que tels bannis de la communauté des gens sérieux.
Suite... Les ennuis commencent...
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