mercredi 31 juillet 2013

Le faible soutien économique au "printemps arabe" risque d’être coûteux !

Même avec le soutien d'institutions comme le FMI, les pays du printemps arabe reçoivent peu d'aide économique.

La communauté internationale devrait se mobiliser pour permettre une vraie transition démocratique et sociale.

Sans cela, les tensions sociales, l'insécurité politique et l'instabilité économique auront un coup bien plus lourd à porter.

Les pays arabes ont besoin de plus d'une centaine de milliards de dollars pour éponger leurs déficits externes et faire face aux déséquilibres profonds de leurs finances publiques qui ont atteint des niveaux records depuis le début des soulèvements arabes, fin 2010.

De nombreux pays dont l'Egypte, la Jordanie, le Maroc, la Tunisie et le Yémen se sont tournés vers le Fonds monétaire international (FMI) en quête d’assistance, sans beaucoup de résultats.

Suite... «Partenariat de Deauville»

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