Même avec le soutien d'institutions comme le FMI, les pays du
printemps arabe reçoivent peu d'aide économique.
La communauté
internationale devrait se mobiliser pour permettre une vraie transition
démocratique et sociale.
Sans cela, les tensions sociales, l'insécurité
politique et l'instabilité économique auront un coup bien plus lourd à
porter.
Les pays arabes ont besoin de plus d'une centaine de milliards de
dollars pour éponger leurs déficits externes et faire face aux
déséquilibres profonds de leurs finances publiques qui ont atteint des
niveaux records depuis le début des soulèvements arabes, fin 2010.
De
nombreux pays dont l'Egypte, la Jordanie, le Maroc, la Tunisie et le
Yémen se sont tournés vers le Fonds monétaire international (FMI) en
quête d’assistance, sans beaucoup de résultats.
Suite... «Partenariat de Deauville»
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